Cinquième point clé : le carnet de santé et le suivi annuel. Depuis 2025, tout chien adopté dans un refuge agréé (SPA, Fondation 30 Millions d’Amis, etc.) doit bénéficier d’un “billet de sortie” incluant identification, primo-vaccins, vermifuges et stérilisation. Pour les autres, un suivi vétérinaire annuel est fortement conseillé — et exigé par certaines assurances responsabilité civile. Ce bilan permet de dépister précocement les maladies chroniques (insuffisance rénale, diabète, arthrose) et d’ajuster les traitements préventifs (antiparasitaires externes et internes).
Publicité
À noter : les antiparasitaires (contre puces, tiques, vers) ne sont pas légalement obligatoires, mais leur négligence peut entraîner des refus de prise en charge en cas d’infestation grave. En 2025, avec la prolifération des tiques porteuses de piroplasmose et de la maladie de Lyme, les vétérinaires imposent souvent un traitement régulier comme condition d’accès aux collectivités canines.
Enfin, nouveauté 2025 : la “santé connectée”. Certains vétérinaires proposent désormais des rappels automatisés de vaccins et de vermifuges via application mobile, et le carnet de santé numérique devient progressivement obligatoire pour les chiens voyageant en Europe.
Respecter ces obligations, c’est protéger votre chien, protéger les autres, et éviter les sanctions. En 2025, un bon maître, c’est d’abord un maître responsable — qui anticipe, informe, et agit. Votre chien vous le rendra en années de vie, de fidélité, et de complicité sans faille.
